nisshin

samedi 10 décembre

 1 2 月 1 0 日(土)

cuisine à nisshin

Louise est partie pour son école et je suis allé en train jusqu’à Nisshin : c’est le quartier de Saitama où habite Taiga. Il est venu me chercher à la gare et m’a conduit dans un supermarché pour acheter les ingrédients qu’il me manque pour le repas de ce soir, dont je suis responsable.

Dès notre retour à la maison, je me mets au travail. Je commence par le dessert : bavarois mandarine avec base speculoos et ganache chocolat. Tout se passe bien. J’avais apporté de France les cercles à pâtisserie ainsi que la gélatine, les spéculoos, le chocolat et les pistaches émondées. Mise au réfrigérateur pour que ça prenne bien d’ici ce soir.

On va ensuite récupérer Louise qui revient de sa matinée à Tōkyō Mode Gakuen. Et on commence par déjeuner dans un restaurant que la famille de Taiga aime bien, le Bikkuri donkii (l’âne surpris). Ils sont spécialisés dans les hanbaagu, sortes de steaks hâchés avec divers accompagnements. Louise et moi prenons un set composé d’une soupe de maïs (délicieuse), d’un café glacé (ayant très légèrement un goût de café), d’un steak hâché (pas trop cuit) avec riz et daikon râpé (c’est le gros radis blanc d’asie) et d’une glace au lait de vache d’Hokkaido avec chocolat. On est bien rassasiés et, après ça, on part pour un immense centre commercial, car Louise doit trouver des perles diverses pour ses prochains photoshoots. Elle les trouve dans un DAISO (tout à 100 円 : 100 yen = environ 0,7 €). On termine par la boulangerie pour le petit-déjeuner de demain matin et on a la surprise, en retournant à la voiture au parking, de pouvoir admirer un coucher de soleil derrière le mont Fuji.

On revient donc à la maison et je me remets au travail, cette fois-ci pour les flammekueche. La pâte n’est pas très longue à confectionner et en attendant qu’elle lève (2 heures et demie), chacun s’occupe, qui sur son smartphone, qui en jouant à un jeu de société. La maman est très concentrée lorsqu’on joue à The Game.

Je finis ma préparation oignons-lardons ; puis étalage des 2 pâtons. On n’a pas trouvé de crême épaisse, donc le mélange déborde légèrement. Mais ça cuit tout de même. Il manque un peu de croustillant car le four ne chauffe que par le fond et un côté. Mais c’est très bon et tout le monde se régale, avec le verre de Riesling et la salade pour accompagner.

Une légère pause avant de passer au dessert.

Et vient l’heure de se coucher.

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