Aujourd’hui, ciel bleu, bleu, bleu. Il fait un peu plus frais, mais ça tourne encore autour de 12-13° dans la journée. Et pas encore au-dessous de zéro la nuit. Ça devrait venir lorsque je serai parti.

Ce matin, je suis donc allé visiter le Seikadō Bunko art museum qui recèle de vrais trésors de peintures, paravents, céramiques et laques. Malheureusement : interdit de photographier. J’ai tout de même volé quelques clichés (en caméra cachée).

Ensuite, je suis monté dans le Marunouchi building pour pour prendre des photos de la gare de Tōkyō en briques (construite en 1912, rénovée en 2012, « bien culturel important »). Marunouchi dori est vraiment une rue très chic, avec une portion piétonne.

Je vais tout de même jusqu’au abords du Palais impérial. J’en avais fait le tour complet en 2019.

Lorsque je reviens vers la gare, il y a un robot qui fait la sécurité dans le hall du Marunouchi building. Je me dirige alors, en longeant la gare, puis en traversant la rivière Nihonbashi gawa, vers le pont Nihonbashi, considéré point central du Japon depuis l’époque Edo. Il y a même une marque qui indique le point de départ (kilomètre zéro) des 5 grandes routes du Japon vers les provinces, définies à l’époque des shōgun Tokugawa.

Le quartier Nihonbashi est très animé. Il jouxte le quartier (tout aussi animé et commerçant) de Ginza. La Ginza dori est extrêmement longue (1,2 km). Je la descend jusqu’au bout. Grands magasins et boutiques de luxe se succèdent. Un peu avant la fin, je m’arrête dans un chic centre commercial (Ginza Six) et descends au deuxième sous-sol, niveau nourriture (food). Il y a surtout des commerces de pâtisseries et sucreries diverses : j’y achète 2 gâteaux pour Louise et moi ce soir.

Puis je vais jusqu’à la station Shimbashi qui n’est plus très loin. Encore environ 1 heure de train, et me voici, plus tôt que d’habitude, de retour chez Louise.